D'étranges évènements au village

Sujet: D'étranges évènements au village Dim 14 Mar 2010 - 12:46

Janaïka regardait depuis les hautes murailles du château le point d'horizon d'où venait de disparaître le chevalier et les Écuyers, menant une première mission plus qu'incertaine. Troublée, elle sentit dès lors un subtil changement au château, ce n'était pas tant que par le départ des seuls autres membres de l'Ordre, mais qu'il ne règnait plus d'activité magique aux environs, chose qui déstabilisait un peu la Magicienne par ce "vide" soudain. Silencieuse, elle resta songeuse quelques instants, accoudée à la balustrade, avant de s'en aller en direction de la tour, ayant l'intention de consigner ses récentes observations des étoiles, particulièrement troub;antes ces temps-ci. À peine eut-elle le dos tourné qu'une voix d'homme, qui semblait plutôt paniquer, la fit arrêter.

- Une des maisons au village à brûlé! Il faut avertir le roi et Sir William!

Interressée, la Magicienne se retourna et assista avec interêt à l'échange entre l'homme et la garde qui essayait désespérement de lui faire comprendre que le grand chef était absent. De plus en plus curieuse, elle n'hésita pas longtemps avant de lire les pensée du gaillard. C'était une famille bien sage qui y habitait, une famille qui, selon les dire de l'homme avait péri. Un brave père, une mère indulgente, une fillette exemplaire et un fils qui faisait la fierté du village. Seul le corps de l'homme avait été retrouvé, mais selon les dires du villageois, l'intensité de l'incendie était tel que ça ne le surprendrait guère que les autres ne soient plus qu'un petit tas de cendre. Le plus étrange, c'est que, à côté du père, un étrange poignard avait été découvert, une arme qu'aucun forgeron des alentours, sans doute même d'Enkidiev toute entière, n'aurait pu reproduire. Étonnée et encore plus troublée qu'avant, la jeune femme décida plutôt de descendre au village voir de ce qu'il en retourne.

Elle arriva rapidement sur les lieux, surprise qu'elle soit seule. De la maison, il n'en restait qu'une cheminée de pierre, à moitié démolie, et un tas de cendre. L'odeur de bois et de chair brulé lui parvint, écoeurante. Le feu ne sembla pas, en effet, naturel. Surmontant ce sentiment qui ne voulait pas qu'elle marche dans les décombres, elle y alla, trouvant le poignard à la longue lame recourbée. Fascinée, elle observa l'arme finement travaillé, mauve et noire, l'homme avait dit, pensé vrai, aucun forgeron, humain du moin, n'aurait pu faire pareille objet. Le corps du père avait sans doute été transporté car il n.était plus là. Les maisons voisines semblaient désertes et il n'y avait pas le moindre signe de vie aux alentours, seulement ceux de mort. Pourtant, la jeune magicienne se sentait épiée, malgré que ses sens ne détectèrent aucune présence. Tendue et nerveuse, elle se recueilla quelques instant, recommanda les âmes de cette famille aux dieux.

HJ: Voilà! mias tu peux en faire ce que tu veux des "infos" que j'ai donné sur Plamété-Aristophane

Sujet: Re: D'étranges évènements au village Mer 24 Mar 2010 - 18:09

Avienoeth marchait, enfin il se débrouillait pour avancer, car il devait dompter ce nouveau corps. Au fur et à mesure qu'il s'avançait dans les forêts bordant le royaume d'émeraude le sorcier se rendit compte à quel point le corps humain n'avait aucune protection contre l'humidité. Voilà à peine quelques minutes qu'Avienoeth avait quitté la maison en flamme du jeune homme qu'il grelottait déjà. Le sorcier devait absolument trouver un abris, de toute façon il était bloqué jusqu'au matin, il ne pouvait s'envoler avec l'humain par une tempête pareille.

Au loin dans la brume, le sorcier repéra un renfoncement dans la roche d'un fossé, Avienoeth s'approcha espérant trouver un abris et à la place il découvrit que le renfoncement était bien une grotte mais occupée par un groupe d'humain, heureusement pas des humains qui pourraient lui nuire aux vue de leurs tuniques ils ne devaient pas être plus que des bucherons ayant trouvé refuge pour la nuit.

"Je ne suis pas là aujourd'hui pour détruire le royaume d'Emeraude, je ne suis ici que pour cet humain, je ferais mieux de me retirer"

Avienoeth ce l'était chuchoter mais ce qu'il n'avait pas penser c'est que les cordes vocales humaines n'étaient pas adaptées pour la langues des insectes, alors à la place du bruit caractéristiques des insectes il ne sortit de la gorge du jeune homme qu'une espèce de gargouillis entrecoupés de bruit plus aigus ressemblant aux cris d'agonies qu'avaient poussé quelques instants plus tôt la soeur et la mère de l'humain.

Et évidement les bucherons accoururent voir d'où provenait la source de ces cris. Il ne restait qu'une solution au sorcier simulé le malaise, au pire il les tuerait mais il se répétait intérieurement qu'il n'était pas là pour ça ! Alors qu'une des bucherons s'approchait d'Avienoeth, le sorcier lui tomba dans l'inconscience en cédant brutalement la place à la conscience de l'humain. Mais Avienoeth restait tout de même le plus fort des deux, il avait tout contrôle sur lui.

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L'humain cligna des yeux, devant lui il y avait le ciel étoilé, un étau lui serrait les tempes et il avait l'impression qu'il allait exploser comme une tomate compressée. Plamété-Aristophane se releva sur les coude, ses sens reprenant contact avec le monde extérieur, sa vision encore trouble se stabilisa, ses oreilles bourdonnantes perçurent à nouveau les bruits extérieur, son nez se réveilla et une odeur de daim rôti vint lui frapper les narines,dans sa bouche le jeune homme sentit le gout d'une soupe aux orties, tout était bon, à part un sens qui manquait à l'appel, le toucher, le jeune garçon ne sentait plus rien de son corps, comme si son système nerveux avait rendu l'âme. Mais au fond de lui, le garçon entendit comme une voix qui sifflait et d'un coup l'humain eut conscience à quel point il avait froid, faim , qu'il souffrait comme s'il brulait de l'intérieur. Plamété se tordit de douleur, il ne se détendit que lorsque il sentit la main d'un homme se déposer sur son front et lui dire que c'était normal qu'il avait été en hypothermie.

"Papa ?!"

Questionna le jeune homme et pour toute réponse il n'eut que le silence, aussi il se leva mais une main ferme le fit se recoucher et il eut sa réponse:

-"Petit je ne sais pas de où tu viens, mais je suis désolé de te dire que je ne suis ni ton père ni ton frère mais bien un inconnu, je suis Rotgar un humble bucheron du Roi d'Emeraude."

-"Je viens du Royaume d'Emeraude, je ne comprend pas j'y étais il y a quelques minutes comment suis je arriver ici en pleine forêt ?"

-"Je te l'ai dit petit tu a fait un malaise et...tu...mais......."

La suite du discours de l'homme se perdit dans les méandre du temps, Plamété avait de nouveau changer de conscience.

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Avienoeth repris possession du corps comme s'il se glissait dans un habits confortable, il prenait petit à petit ses marques dans le corps du garçon. Un jour Avienoeth expliquerait tout au garçon mais ensuite, mais ensuite...Avienoeth avait réintégré le corps du petit au moment où le bucheron lui expliquait ce dont ils avaient été témoin, assez pour réveiller les soupçons du garçon.

Sentant que le corps du jeune homme était terriblement faible Avienoeth décida de le laisser se reposer, après tout il se devait d'en prendre soin, il était une pièce de son échiquier.

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Avienoeth ouvrit les paupières, le soleil déjà réchauffait les terres, comme s'il les berçait pour les soigner des maux que la tempête avait provoqué mais aussi pour préparer la terre à ses maux à venir, mais là ce n'était plus les tempêtes qui en seraient la causes mais bien Iraneth.

Le sorcier se posait justement la question de savoir si les gens d'Emeraude avait réagis à son message. Avienoeth fit soulever le corps du jeune homme et regarda autour de lui, les bucherons dormait encore, il pouvait sans crainte sortir du corps de Plamété et réinvestir le sien. Quelques secondes plus tard, le corps de Plamété s'écroula à terre, la conscience du jeune homme bien museler à l'interieur de son corps. Avienoeth étira ses ailes et profita du bonheur que lui conférait son propre corps, car le corps du jeune homme était bien trop étroit

Avienoeth disposant de ses pouvoirs sous sa formes réelles put rapidement balayer les environs et surtout les alentours du chateau d'Emeraude et c'est là qu'il la sentit pour la première fois, une energie magique battait au mileur des énergies vitales des paysans, cette énergie magique était un peu à l'écart à l'emplacement même de la maison, mais elle tenait dans ses mains un objet qui recelait une part de la magie d'Avienoeth, son poignard empoisonné evidement , il l'avait laissé en signe de prévention, l'energie magique saurait elle la comprendre ? Avienoeth en doutait.

Maintenant qui se cachait derrière cette énergie ? Pour le savoir Avienoeth projetta son esprit comme un bélier sur celui de l'energie magique, il créa un carnage dans l'esprit, mais il récolta un maximum d'informations, mais aucune ayant grande valeurs, aucune dévoilant les prochains plans des chevaliers, à part l'évocation d'un royaume mais sur Enkidiev il y en avait tellement.

Tout ce qu'il savait à présent c'était que cette énergie magique était la nouvelle magicienne d'emeraude serait elle aussi bornée que son prédécesseur ça il l'ignorait mais il devait le savoir, attrapant par le coup Plamété il quitta la clairière en marchant mais il se rendit compte qu'il était épié, il se retourna et il vit le plus jeunes des bucherons le regarder avec de grands yeux.

"Mpff"

Se résigna le sorcier, il invoqua à nouveau une flammèche qui vint se déposer sur la tête du jeune bucheron qui immédiatement prit feux, il se mit à crier cherchant s'éteindre mais ce qu'il fit ce n'est qu'embraser les autres bucherons qui s'étaient réveillé par le bruit. Sur les six bucherons, trois avait totalement disparu en cendre et les trois autres avait leurs visages ravagés par les brûlures et leurs coeurs s'étaient arrêtés. Avienoeth plongea sa main sur la poitrine d'un des trois et en sortis le coeur qu'il écrasa dans sa main, le sang s'écoula à terre et Avienoeth éclata de rire, il était temps pour lui de rendre visite à sa nouvelle amis la magicienne, l'homme-oiseau se replongea dans le corps de PLamété et se dirigea en sens inverse vers le château, il devrai ne pas oublier de cacher le corps de l'humain avant d'atteindre le château de nombreuses personnes risqueraient d'être appeuré.

"Petit magicienne, j'arrive !"

HJ: voilà je m'excuse du retard de ma réponse

Janaïka frissona. Un changement subtil dans l'air la mit aux abois, pendant une fraction de seconde, elle aurait jurée avoir sentie une puissante énergie magique, sensiblement du même type qu'elle avait sentie au Royaume de Cristal. L'aura magique qu'elle n'avait put "qu'entrevoir" ne lui disais spécialement pas rien qui vaille, aurait-elle envoyé Sir William et tous les nouveaux espoirs de l'ordre dans les griffes de ce mystérieux ennemi que, toutes les nuits, par l,intermédiaire des étoiles, elle étudiait? Soucieuse, elle ne pensa toutefois pas à contacter le Chef des Chevaliers par voie télépathique.

Cette maison qui brûle, ses habitants qui ont semblé s'être évaporé dans la nature, ces deux mystérieuse forces qui intervenaient... Et si tout était relié?

HJ: Pitite suite... Très petite^^

Avienoeth courrait en direction du château, il sentait les muscles du jeune homme qui faiblissaient, le corps humain etait une entité tellement faible et pourtant si utile. Tout en courant, le sorcier tria les informations qu'il venait de recueillir, ainsi ses soupçons étaient bien fondé, Emeraude avait fait renaitre de ses cendres un troisième ordre de Chevalier et sans attirer l'attention d'Iraneth il avait évolué et comptait déjà aujourd'hui trop de membres pour qu'Avienoeth les laisse agir en tout impunité.

Iraneth, l'Empereur et son père avait déjà trop souffert de la mégalomanie de ces humains et aujourd'hui le sorcier de l'Empereur était prêt à saigner à blanc et à tout jamais la terre qui en ce moment il foulait. Avienoeth avait son plan et Emeraude serait le dernier Royaume à périr. Oh la guerre qu'Avienoeth allait menée n'était pas tellement une guerre de force mais une guerre du profit, le sorcier saurait détruire ce continent à l'apparence unie comme du marbre mais qui avait de nombreuses failles, et le sorcier saurait rendre Enkidiev une terre désolée où seul la loi de l'Empereur règnerait.

Après quelques minutes de courses, Avienoeth arriva à la lisière de la forêt et rapidement localisa le présence magique, une jeune femme était là debout devant la maison brûlée elle avait l'air d'être plongée dans ses pensées, c'était d'autant mieux pour le sorcier. Car deux choix s'offraient à lui, le premier il plongeait dans l'esprit de la magicienne d'Emeraude, détruisait toute sa santé mentale, toute ses capacités magiques et physiques mais en échange Avienoeth devrait subir le même sort, or le sorcier était bien plus important que ce pion qu'était la magicienne, aussi il choisit sa deuxième solution qui consistait à attirer la magicienne qui d'après ce qu'Avienoeth avait relevé n'avait pas encore saisit l'importance de cette maison brûlée.

ce plan paraissait au sorcier tout à fais acceptable, aussi il préféra garder l'aspect de Plamété qui se montrait de plus en plus utile au fur et à mesure des heures qui passaient, il n'y avait rien à faire, Avienoeth était le meilleur sorcier qu'Iraneth avait connu.

Sans chercher Avienoeth se retira dans les tréfonds de l'esprit du jeune homme, Plamété s'occuperait du reste mais Avienoeth devait faire attention que son protégé ne perde pas totalement la tête.

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Le jeune homme se réveilla de nouveau, une fois de plus il avait l'impression que le temps s'était écoulé sans lui. Plamété-Aristophane se leva, s'épousseta et regarda, et là prit de stupeur il reconnut les fauxbourgs d'Emeraude, son cauchemar était finis ? Il ne le savait pas mais une seule chose lui vint en tête, retourner chez lui, pas dans sa maison personnelle mais celle de ses parents, il ne savait pas pourquoi il le voulait mais son esprit lui dictait cet ordre comme si quelqu'un lui dictait ce qu'il avait à faire.

Aussi il se leva et se mit à courrir, ses jambes flagellaient comme après un effort physique intense, mais il n'y prit pas garde, il continua, et lorsqu'il arriva chez lui il reconnut la magicienne d'Emeraude...devant sa maison brûlée...et tout autour des hommes s'occupant du corps de son père. Plamété n'en revenait pas, qui avait pu faire ça ? C'est alors que des souvenirs resurgissent, son père allait ouvrir la porte à un inconnu ou plutôt à une inconnue, car maintenant qu'il y réfléchissait l'ombre ressemblait tellement à la silhouette de la magicienne. Et là il ne réfléchit plus, il se fichait pas mal que la magicienne était une personne respectable, elle avait détruite sa vie et elle devrait payer.

Du fond de sa gorge, un cris de rage surgit et monta vers le ciel, toutes les personnes autour de la maison se retournèrent et Plamété s'écria:

" VOUS ! MAGICIENNE DE PACOTILLE, DETRUIRE LA VIE DES GENS DU PEUPLE N'A PAS L'AIR DE VOUS DERANGER PLUS QUE CA, JE ME SOUVIENS DE VOUS, HIER VOUS NOUS RENDIEZ VISITE ET VENIEZ DETRUIRE MA FAMILLE, POURQUOIIII !! POUR VOUS AMUSER, PAS DE MENACES DE L'EMPIRE NOIR ALORS VOUS VENEZ VOUS DEFOULER SUR LES GENS DU PEUPLE, MOURREZ ! JE PREFERE ENCORE M'ALLIER A L'EMPIRE NOIR QUE DE VOUS VOIR NOUS DIRIGER !"

Plamété s'approcha de Janaïka et lui cracha dessus, s'ensuivit un discours frollant le discours politique qui fit que la population d'Emeraude commença à se ranger du côté de Plamété d'autre tentant de protéger l'aristocratie d'Emeraude, mais le tout finis en un combat générale.

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Avienoeth souriait, le jeune homme s'était montré tellement convaincant et ce grâce à un souvenir légèrement modifié, maintenant le sorcier toisait la magicienne, avec un regard malsain.

Le sorcier, toujours dans le corps de Plamété tourna les talons et s'enfonça dans la cohue générale qu'était devenue les rues des fauxbourgs d'Emeraude.

La magicienne avait de nouveau problème à gérer et sans ses protégés qu'était elle vraiment ?

La jeune Magicienne n'était pas une femme qui démontrait facilement ses émotions, mais la scène qui venait de se dérouler devant ses yeux l'avait ébahi, comme une violente giffle qu'elle aurait reçu de plein fouet, sans pour autant ciller le moindrement. Elle ne comprenait rien, mais alors absolument rien, que voulait dire les hurlements de rage de ce jeune homme blond? Était-il un proche des victimes, fou de douleur ou encore... Sûrement, il avait clairement hurler les mots "sa famille" parmi le peu que Janaïka avait pu saisir. Malgré tout, elle essaya, tant bien que mal, de ne pas le démontré, ce qui s'avéra des plus difficiles puisqu'à présent, les habitants des alentours qui s'était approché, attiré par les ragots des voisins, la fumée et la curiosité, s'appuyaient sur les propos du jeune homme, qui maintenant haletait de rage en la fixant d'un regard haineux, pour former deux clans qui défendaient d'une part l'Ordre d'Émeraude et de l'autre, le remettaient en doute. Elle plongea alors, au milieu de la cohue, son regard glacé dans celui du blond qui était à l'origine de toute cette pagaille. Elle y découvrit, stupéfaite, que le garçon n'était nulle que le fils de la famille qui venait d'être, elle était maintenant sûre de pouvoir l'affirmer, assassiné. Plamété de son nom, la Magicienne ne put que constaté, de plus en plus surprise, qu'il vouait une véritable haine à son égard et à tous l'Ordre d'Émeraude ; elle n'était pas feinte. Cependant, elle décela également une partie de son âme "obscure", "insondable".

Stupéfaite, elle ne put que regarder Plamété s'en retourner, fendant d'un pas rageux la foule, qui, à présent, défendait ses arguments à coup de poing. Janaïka ne pouvait le nier, cet incident la choquait au plus au point et était un coup bas contre l'Ordre, mais qu'est-ce qui avait pu pousser ce jeune homme à agir de la sorte? Mais elle reprit vite ses esprits et se décida à vite trouvé une solution pour limiter les dégats de la déclaration passionée de Plamété. Se concentrant vivement, la Magicienne "paralysa" un à un les hommes qui se battaient, prenant emprise sur leur esprit. Cette technique, apprise auprès de son père dès son plus jeune âge, lui coûtait beaucoup en énergie, c'est qu'ils était plus d'une trentaine dans cette bataille! Mais elle n'était pas Magicienne d'Émeraude pour rien... Les combattant ne pouvant plus bouger, elle sourit et relâcha légèrement le sort pour que les esprits qu'elle avait sous son contrôle puisse analyser et absorber l'information qu'elle avait à leur transmettre.

Par la pensée, la jeune Magicienne, bien inexpérimentée dans les discours, il fallait bien l'admettre, commença à leur communiquer, tant par des images que pa des "mots" les conséquences d'une alliance avec l'Empire Noir, les effets d'un peuple divisé et le pouvoir et l'influence qu'avait eu les deux fois précedentes l'Ordre d'Émeraude dans la guerre contre les Hommes-insectes et leurs alliés, même si, tout comme eux, le Deuxième Ordre avait parti avec un bien modeste nombre de Chevaliers... Elle débita des arguments ainsi jusqu'à ce qu'elle sente que tous les esprits ayent compris son message et qu'il était suicidaire de s'allier à l'Empereur. Plusieurs avaient été coriaces, mais il n'avait pas été bien dur d'éliminer les préjugés et les conséquences qu'avaient pu avoir les paroles d'une seule personne, en particulier celle d'un fils éploré qui avait certainnement de flous souvenirs et un esprit confus. Enfin, elle résilia son contrôle sur les consciences de ces hommes qui se frottaient la tête en se demandant ce qui s'était passé (Janaïka avait en effet user d'un petit sortilèges d'amnésie, mieux valait prévenir que guérir) et se surprenaient à être couvert de bleus et d'éraflures. De bonne grâce et se sentant légèrement coupable, la Magicienne leur offrit de les soigner et ce, malgré le fait qu'elle soit épuisé.

Plus d'une heure plus tard, alors que l'après-midi était déjà bien avancé, Janaïka reprit la route du château, épuisée et des questions plein la tête. Et remplis de doute. Et si des voisins ayant échapper à son contrôle avaient lancer des ragots? Son énergie étant au plus bas, elle ne put qu'espérer que cela ne se produise pas et qu'elle ne fasse pas de mauvaises rencontres sur la route qui menait au lointain Château d'Émeraude.

Le sorcier marchait, tranquillement s'en retournant à la forêt pour méditer, mais bien avant qu'il arrive à la lisière du bois, il sentit une magie s'emparer des gens qui se battaient quelques minutes plus tôt, cela indiquait donc à Avienoeth que cette magicienne était peut être doté de réel pouvoir. Aussi l'homme-oiseau, s'arrêta net, il se retourna et fit demi-tour, cela ne servait plus à rien de méditer maintenant, si il y avait sur ce monde une personne capable d'être un parasite même infime pour l'empereur s'était surement cette magicienne et toute sa bande de fanatiques qui ne comprenaient rien au bien fondé de l'Empereur, qui n'était autre que de raser tout Enkidiev et réduire en esclavage des peuples, or les peuples ""libres"" d'Enkidiev ne l'était pas autant que ça, ils étaient esclaves de leurs traditions et ça Avienoeth comptait bien en tirer partis.

Et il avait bien raison de penser cela, car alors qu'il passait en courant dans une rue sombre et étroite du faubourgs d'Emeraude il aperçut la magicienne en train de se fatigué à soigné des pauvres malheureux qui n'en valait même pas la peine. La jeune femme ne faisait que ça pour sa conscience car c'était politiquement correcte.

*Qu'elle se fatigue, seulement, ma victoire en sera plus savoureuse* pensa le sorcier.

Et Avienoeth, fit encore une fois appel à la condition physique de Plamété, il l'obligea à courir pour distancer la magicienne qui sans nul doute rentrerait dans son petit chez soi dans quelques minutes, lui laissant le temps de la prendre par surprise.

Aussi le sorcier de l'Empereur foula quelques minutes plus tôt que la magicienne la rout qui menait au château. Tout en se fondant dans la foule qui rentrait au château, le jeune Plamété-Aristophane où plutôt Avienoeth réfléchit à son futur plan, quelle raison pouvait il avoir pour réapparaitre devant la magicienne ? Simple, qu'il n'avait pas finis de s'expliquer.

Ah nouveau tout se brouilla et Avienoeth laissa une liberté conditionnelle à son captif, qu'il en profite ça ne lui arriverait pas souvent.

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Plamété eut un haut-le coeur, au fond de lui sa rage contre l'Ordre vivait toujours, mais à nouveau il était désorienté, il tituba et se rattrapa à un mur, il respira profondément deux ou trois fois et observa où il était et bien justement il se trouvait sur la route menant au château du roi, comptait-il quémander une audience au roi, c'était sans doute l'impression qu'avait le jeune homme.

Mais avant qu'il n'ai pu se remettre en route et chercher une explication rationnelle à tout ses trous noirs qui arrivaient dans sa vie, il remarqua sur la route qui maintenant était deserte, une ombre qui avançait.

Cette ombre appartenait à une femme, elle se déplaçait avec souplesse et lorsqu'elle fut descriptible Plamété l'a reconnut, il s'agissait de cette femme, de cette magicienne, de cette femme fourbe, elle n'avait rien pas une égratinures elle avait dans aucun doute empoisonné l'esprit de tout les villageois, ainsi en plus d'avoir tuée sa famille elle se sentait obligé de venir détruire la vie de tout un village elle devrait payer.

Aussi observant la femme à une trentaine de mètres de lui, il se cacha derrière un mur et attendit. Au moment où la magicienne passa près de lui, il surgit et lui cracha les mots suivant :

"Ainsi en plus de ma familles, vous vous sentez obligée de déranger vos propres serviteurs, cet Ordre là que vous défendez et qui un jour nous défendras, ce n'est qu'une vaste blague, vous vous cachez derrière de fausse illusion. Mais madame je vous assure que je prie tout les dieux pour que votre Ordre disparaisse, car à vous regarder, vous pavaner comme si tout vous est acquis et bien je n'ai qu'une seule envie que vous mourrez et qu'enfin ma famille soit vengée, je sais ce que vous avez fait au village je m'en doute, je vous ai cernée madame vous avez empoisonné leurs esprits et bien le mien est encore pur et je m'attèlerai à votre destruction"

Et sur cette dernière tirade le jeune Plamété sortis un poignard qu'il avait un jour reçut de son père, le jour même où il avait chassé son premier gibier, et bien cette fois-ci le gibier serait une magicienne et plus tard ce sera un bon pâté qui nourrira ceux qui le mérite c'est à dire les cochons. Car cette magicienne ne valait que ça.

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Plamété menaçait maintenant la magicienne et il lui dit:

"Oseriez-vous menacer un pauvre paysan qui viens de perdre sa famille ? Non je ne pense pas car si vous faites cela je vous promet que ce sera tout le royaume qui s'abattra sur vous et l'Ordre"

Cette dernière phrase avait été dicté par le sorcier.

Ainsi de l'esprit du jeune homme, Avienoeth observait satisfait de ce que son captif pensait, à cette allure le sorcier noir n'aurait pas besoin de continuellement transformer l'esprit de Plamété car au total il était fastidieux de semer toute ces allusions à l'Empire dans l'esprit d'un paysan certes raffiné mais paysan quand même, c'est à dire qui ne comprenait rien à la guerre et au monde réel.

Janaïka avançait lentement sur le chemin de terre battue, songeuse et légèrement étourdie. Utiliser ainsi son d'énergie, elle était surprise de ne pas être tombé dans les pommes, en train de se refaire une réserve, technique qu'utilisait instinctivement les humains dotés de pouvoirs magiques lorsqu'ils les avaient surexploités, mais elle n'était pas non plus Magicienne pour rien! Les questions allaient et venaient dans son esprit en pleine ébullition, ne lui laissant aucune chance se reposer mentalement ou de se concentrer sur autre chose. Toutefois, il paraissait qu'on n'en avait pas finie avec pour aujourd'hui:
　
- Ainsi en plus de ma famille, vous vous sentez obligée de déranger vos propres serviteurs, cet Ordre-là que vous défendez et qu'un jour nous défendra, ce n'est qu'une vaste blague, vous vous cachez derrière de fausses illusions. Mais madame je vous assure que je prie tout les dieux pour que votre Ordre disparaisse, car à vous regarder, vous pavaner comme si tout vous est acquis et bien je n'ai qu'une seule envie que vous mourrez et qu'enfin ma famille soit vengée, je sais ce que vous avez fait au village je m'en doute, je vous ai cernée madame vous avez empoisonné leurs esprits et bien le mien est encore pur et je m'attèlerai à votre destruction.
　
Le jeune homme aux cheveux platines avait parlé d'un ton théâtral, surgissant de nulle part(enfin, si, du petit bois dans lequel s'enfonçait la route), avant de sortir un poignard de son dos, une lueur de démence dans ses yeux selon la jeune magicienne. Celle-ci n'en était pas moins choqué, ce garçon semblait obsédé par le fait qu'elle vive... ou plutôt qu'elle meurt. N'était-ce pas lui, cet après-midi, qui avait provoqué l'émeute, le fils de la famille qui avait été vraisemblablement assassinée? Oui, Plamété. Le choc lui aurait fait perdre la raison. C'était une hypothèse comme une autre, mais la jeune femme sentait que celle-ci seule saurait lui convenir... pour l'instant. Maintenant, elle avait un détail un peu plus urgent à régler, comme régler un cas de menace de mort sur sa personne.
　
- Oseriez-vous menacer un pauvre paysan qui vient de perdre sa famille? Non, je ne le pense pas, car si vous faites cela, je vous promet que ce sera tout le Royaume qui s'abattra sur vous et l'Ordre.
　
À l'instant où Plamété siffla ces paroles, une puissante vague de magie noir vint donner un haut le coeur à Janaïka. Étaient-ils seuls? Cette aura était pourtant à proximité. Durant quelques secondes, elle resta silencieuse, scrutant les alentours avec ses sens, mais durant ces même secondes, la sombre présence sembla s'éclipser aussi vite qu'elle était apparu. Le jeune homme profita de cet instant d'inattention pour se ruer sur elle, mais elle esquiva cette première charge souplement. Il avait bien choisi sa journée, ce paysan, pour essayer de la trucider! À cette distance, elle pourrait se déplacer magiquement jusqu'aux grilles du château, mais sa conscience ne la laissera certainement pas en paix si elle n'essayait pas d'obtenir quelques réponses de Plamété. De plus, elle avait peur que son transport magique ne la vide pour de bon.
　
- Penses-tu? Et pourquoi te menacerais-je? Je pense que tu as inversé les rôles.
　
La Magicienne avait tutoyé le jeune homme instinctivement, en adoptant le ton le plus calme et le plus détaché possible dans les circonstances, elle ne savait même pas pourquoi il disait qu'elle avait tué sa famille! Elle compatissait à son malheur, pour sûr, mais il semblait qu'il avait atteint la limite. La fatigue l'envahissait de plus en plus, et bien qu'elle aurait voulu tenter une nouvelle investigature dans l'esprit du jeune paysan, elle n'en trouva plus la force, ses membres tremblaient et Janaïka se demandait comment ses jambes arrivaient encore à la supporter.
　
Le soleil n'était plus désormais qu'un souvenir derrière la montagne de Cristal, laissant un ciel bleu marine et une mince bande orangée et pourpre. La silouhette du château se profilait dans le lointain. Devant elle, le jeune homme avait toujours ses yeux déments qui la fixaient, assoiffé de sang.
　
De mon sang, pensa la jeune femme

Résignée, elle attendit la réaction du paysan devenu fou.

HJ: Faut pas que Plamété m'en veuille si je le traite de fou, hein?^^

Avienoeth observait tel un vautour autour de sa proie, il regardai il savourait, alors qu'il possédait la jeune magicienne s'égara dans de vaines explications autour de ce qu'il lui arrivait et le sorcier en profita pour l'attaquer, Avienoeth sentit tout les muscles de Plamété se détendre d'un coup et la pointe du poignard en direction de la magicienne, celle-ci évita de justesse la blessure mortelle à l'abdomen mais la pointe de l'arme déchira les vêtement de Janaïka alors que celle-ci tentait de l'éviter.

Le sorcier grogna intérieurement, cette magicienne était peut-être plus coriace que ce qu'il n'avait voulu le penser, mais tan pis, il avait commencer à la détruire et il continuerai.

Alors que le corps de Plamété reprenait son souffle, la jeune magicienne se mit à parler d'une voix qui se voulait détachée et calme, ainsi elle souhaitait dialoguée ? Ce n'était surement pas l'objectif du sorcier, et Avienoeth n'accepterai pas que la magicienne mène les évènements, elle se devait de les subir, pour au final mourir !

- Penses-tu? Et pourquoi te menacerais-je? Je pense que tu as inversé les rôles.

Un sourire apparut sur les lèvres de Plamété, sourire qui disparut aussi vite qu'il était partis, car le visage du jeune homme se pétrifia d'horreur et en un coup, Plamété s'échappa en direction du bois tout près. Laissant la magicienne seule sur la route avec ses interrogations, interrogations qu'Avienoeth se doutait qu'elle avait, et bien le sorcier allait confirmer les craintes de la jeune femme.

Arrivé dans le bois, Avienoeth apparut sous sa forme réelle, il écarta les ailes et derrière lui le corps du jeune Plamété s'effondra sur le sol. Avienoeth se concentra pour assomer Plamété pour être sur que son protégé ne se réveille pas durant son absence.

Après, Avienoeth déploya et s'envola en direction opposé de où se trouvait la magicienne, lorsqu'il fut assez loin du bois, il prit de l'altitude jusqu'à ce que l'oxygène commence à lui manquer, à ce moment là, il se laissa chuter, il prit de la vitesse et lorsqu'il arriva en vue de la route, il déploya ses ailes qui l'arrêtèrent progressivement et surgissant comme de nul part, le sorcier atterrit devant la magicienne.

Poussant un cri digne de celui d'un Homme-oiseau, le sorcier se tourna vers la magicienne et lui dit:

"Bonjour chère magicienne, n'est ce pas une journée fantastique ? Fantastique pour moi et pour mon Empereur, pour vous je pense qu'elle s'annonce bien plus inquiétante ! Et oui madame, vos prévisions astrales étaient justes, l'ère de paix dont vous avez bénéficiez ces dernier temps prend fin aujourd'hui, l'Empereur noir est de retour, le continent d'Iraneth n'a pas finis de vous dévoiler ses secrets ! Alors votre journée se passe-t'elle toujours comme vous l'espériez ?"

L'Homme-Oiseau éclata d'un rire strident, typique de sa race, et au bout de se rire maléfique, il fixa de ses petits yeux, sa nouvelle victime !

Edit: je sais c'est pas beaucoup mais c'est déjà ça mdr, sinon tu sais pour Plamété, du moment qu'il l'ignore je pense pas qu'il t'en voudra mdr

La lune étais absente dans le ciel bleu marine et de grands jeux d'ombres se formaient sur le sol. Et dire que c'était dans cette ambiance inquitante qu'elle devait user de diplomatie pour la première fois avec un paysan psychopathe!

Janaïka prit quelques instants pour analyser la situation (pétrin, beaux draps: à votre choix) dans laquelle elle se trouvait. Plamété avait reculé de quelques pas et la fixait un rictus... hum... inquiétant sur le visage qui aurait fait frémir la jeune Magicienne si elle ne s'était munie de sa plus grande et plus profonde réserve de sang froid. En parlant de sang, elle sentit un filet d'un liquide chaud couler sur ses flancs et ne douta pas de l'identité dudit liquide.

Nerveusement, elle risqua un coup d'oeil à la blessure, superficielle, mais blessure quand même, causé vraisemblablement par la lame du poignard de Plamété. Sa tunique affichait une longue déchirure sur son côté gauche et une légère estafilade expliquait la source du sang.

Elle nia la douleur, malgré la crainte que la plaie, aussi superficielle soit-elle, ne soit infectée ou que la lame qui l'ait causé ne soit empoisonné. Lorsqu'elle releva la tête, le jeune paysan avait maintenant l'air terrifié et l'instant d'après, il s'enfuyait à grandes enjambées vers la forêt. Troublé par la fuite et le changement de comportement de l'homme, elle en fut ensuite soulagée, se disant que ses ennuis étaient peut-être finis... pour aujourd'hui.

Reprenant donc sa route, troublée et ne pouvant s'empêcher d'être tout de même nerveuse, Janaïka étouffa un baillement et émit un soupir de soulagement. La silhouette du château se découpa plus distinctement et elle pouvait apercevoir sa tour, il y avait peut-être de l'espoir qu'elle y arrive sans encombre! Peine perdue semblait-il...

Bonjour chère Magicienne, n'est-ce pas une journée fantastique? Fantastique pour moi et mon Empereur, pour vous je pense qu'elle s'annonce bien plus inquiétante! Et oui madame, vos prédictions astrales étaient justes, l'ère de paix dont vous avez bénéficiez jusqu'à présent prend fin aujourd'hui! L'Empereur est de retour! Le continent d'Irianeth n'a pas fini de vous dévoiler ses secrets! Alors, votre journée se passe-t-elle toujours comme vous l'espériez?

Surgit de nulle part, un impressionant Homme-Oiseau se trouvait devant la jeune Magicienne, comme pétrifiée. Se pouvait-il qu'Asbeth, le terrible sorcier dont parlait plusieurs livres et journaux datant du deuxième Ordre est survécu? Il était grand et beaucoup moins misérable qu'elle se l'était imaginé. Ses plumes d'ébènes semblaient absorbé les dernières traces de lumière et ses yeux mauves la fixaient sans vergogne, la dévisageant de telle manière qui la mettait des plus mal à l'aise, doux euphémisme pour décrire ce qu'elle ressentait. L'aura de malveillance qui émanait de cet être lui rappela la vague d'énergie négative sentit plus tôt. Se pouvait-il que...?

Son vis-à-vis la toisait hostilement. Voilà qu'elle allait faire une simple balade de reconnaissance au village et après moult péripéties, cela finissait par une rencontre avec un sorcier venu tout droit d'Irianeth. Elle n'allait tout de même pas l'inviter à venir prendre le thé! Janaïka recula de quelques pas, par réflexe autant que par résignation. Elle savait pertinament qu'elle ne pouvait rien faire contre lui, elle n'avait ni épée, ni objet susceptible de trancher un être magique en deux. De plus, la jeune Magicienne se doutait bien que cet être là n'était pas sans défense, il émanait de lui une telle énergie, malsaine et sombre de surcroit. Elle chargea tout de même ses mains, dans l'éventualité de parer une attaque physique ainsi qu'une barrière pour protéger son esprit. Ce faisant, elle renonça à contacter William: lui et les Écuyers avait une mission à mener et ils étaient trop loin pour intervenir, elle ne ferait que les rendre impuissants à ses ennuis.

- Pourriez-vous déclinez votre identité?

Janaïka avait parlé d'un ton inquiet, elle n'avait plus vraiment la force de masquer ses émotions. Anxieuse, elle attendit la réponse de l'homme-oiseau.

[HJ: Si j'étais ton empereur Avi', je te féliciterais! Tu as quasiment fait flancher la Magicenne! (bah quoi? Ce fut une dure journée pour elle et en plus t'as même pas prévenu pour débarquer, quand même, voir un sorcier pour la première fois, ça donne un choc^^)]

Une taupe se terrant dans un trou, voilà la seule idée qu'il vint dans l'esprit du sorcier lorsqu'il vit la jeune femme qui venait d'avoir la chance incommensurable de le rencontré. Le sorcier avait réussi son coup, la magicienne était pétrifié d'effroi et bientôt Avienoeth pourrait cueillir la tête de la magicienne d'Emeraude et l'amener en toute humilité devant son maitre, le sorcier entendait déjà ses louanges, mais peu importait ce que l'Empereur penserait de lui, car son seul but était de venger son père Asbeth. Son noble père qui avait tout sacrifier pour lui, pour lui apprendre tout sur la magie noire, et au final tout ce qu'Asbeth lui avait appris était pitoyable car Avienoeth avait lui seul appris la véritable puissance de la magie noire et il s'était promis de l'utiliser à détruire l'Ordre d'Emeraude.

- Pourriez-vous déclinez votre identité?

Une lumière de malice s'alluma dans les yeux du sorcier lorsqu'il vit la pathétique tentative de défense de la magicienne, il ne put donc que lâcher un rire discret mais audible.

"Qui suis-je ? Voilà la seule question qui vous trotte dans l'esprit O grande magicienne,ça en devient pitoyable mais je vais accéder à votre demande mais il y a une condition à cela, vous devrez mourir après, n'est-ce pas une belle compensation ? Je vous donne mon nom et je vous évite tout les souffrances que vous aurez à subir lorsqu'enfin nous aurons réunis nos armées. Oh je suis vraiment adorable je vais vous révélez quelque chose, le royaume de Shola, ne sera pas désertique pendant longtemps encore. Maintenant O grande magicienne je vous laisse le soin de traiter cette information comme bon vous semble"

Quelle idée merveilleuse venait d'émerger dans l'esprit du sorcier, c'était tout bonnement une excellente idée, car si il arrivait à inquiéter les chevaliers, il gagnerait du temps pour la grande bataille.

"Ou sinon vous souhaitez toujours connaitre mon nom ?"

Qu'Avienoeth était heureux, il s'amusait comme un enfant jouant dans un bac à sable.

HJ: trèèèèèèèèès court, mais il faut bien te laisser faire quelque chose xD, oui je me doute bien qu'il me féliciterai, mais tu sais il faut pas avoir peur comme ça xD je ne suis jamais qu'un méchant ^^

La Magicienne tiqua l'espace d'une fraction de seconde. Elle ne s'était pas entraîner depuis son plus jeune âge pour se laisser menacer par un sorcier débarquer de nulle part, à Émeraude de plus est! À ces pensées, elle eut tôt fait de calmer la peur panique qui l'avait envahie et reprit le contrôle de son corps ainsi qu'une respiration normale, se contenta d'acquiescer à la question l'affreux homme-oiseau qui la dévisageait à présent avec ce l'on pouvait appeler l'équivalent d'un sourire carnassier pour son bec noir.

En surveillant chaque geste de son adversaire, Janaïka se dit qu'elle aurait du s'attendre à ce qu'un beau jour, alors qu'elle rentrait au château à la tombée de la nuit alors qu'elle venait d'user d'une bonne partie de ses pouvoirs qu'un sorcier lui tomberait dessus au beau milieu du continent, c'était si prévisible! Elle bouillait face au ridicule de la situation et elle ne se laisserait pas aculée dans son propre territoire par ce sorcier de pacotille. En faisant fi des paroles menaçante de la sombre créature, elle croisa ses bras en croix sur sa poitrine et visualisa le château. De la place où elle se trouvait, elle ne pourrait pas se transporter à l'intérieur de la muraille de pierre, protection d'autant plus forte depuis que le légendaire roi Onyx y avait déposé un sort contre les sbires à la solde d'Irianeth, il y avait de cela plus de cinq cent , mais elle pourrait atteindre le chemin pavé duquel les gardes en poste pourrait la voir. En même temps, son coeur se serra en pensant que s'ils venaient lui prêter main forte, ils seraient sans doute les prochaines victimes du sorcier.

Elle convint alors d'apparaître le plus près possible de la muraille sans pour autant attirer l'attention, elle aviserait plus tard. En fixant une dernière fois son nouvel ennemi attitré, elle s'évapora pour reprendre forme à seulement une vingtaine de mètre du château et à quelques pas seulement du chemin de pierre, donc légèrement en retrait, sous le couvert de quelques arbres. Lorsque ses pieds retouchèrent enfin le sol, la jeune Magicienne sentit immédiatement sa tête tournée et une vague de nausée l'envahir. Depuis longtemps, elle avait apprit à reconnaître les signes qu'elle avait abusé de sa magie. C'est donc en titibuant qu'elle se mit à marcher vers les hautes murailles rassurantes et alors qu'elle sentait son esprit s'égaré, elle aperçut une silouhette humaine se glisser vers elle silencieusement. Elle eut une dernière pensée pour cette personne qui était sûrment loin de se douter vers quoi elle se dirigeait.

Setziel c'était perdu en entrant dans le royaume d'émeraude. Il avait marché durant des heures sans apercevoir un village ou une maison dans les bois. Habituer a la chaleur du désert, Setziel avait très froid. Il frissonnât et se dit dans sa tête.

"Il fait frais içi ! BRRRRR"

Sur ce il se croisa le bras pour se réchauffer un peu. Après quelque mêtre il vit une jeune demoiselle se diriger vers lui. Comme il ne la connaissait pas il regarda vers ou elle marchait et vit, se qui lui semblait être une maison. Il émis un sourire et se dit dans sa tête.

"comment peut on vivre dans une maison aussi grosse."

Il décida de se reposer un peux. Il pris son Grand bouclier de son dos et le laissa tomber par terre, le bouclier fit un bruit dure en touchant le sol. Setziel s'assit a coter de se dernier et s'enroula dans sa cape pour se réchauffer. Se demandent ou aller ensuite. Il remarqua que la jeune demoiselle le fixait. Il trouvait sa normal, un inconnue qui viens d'arriver dans le pays avec une grosse cape et un bouclier.

"On doit pas en voire souvent."

Il décida de fermer les yeux

[HJ: Je suppose que c'est à mon tour alors^^]

L'inconnu qui se trouvait à petite distance devant la Magicienne piqua sa curiosité malgré sa grande fatigue. Tout d'abord par sa démarche qui ressemblait étrangement à celui de l'Écuyer Zélid et le fait qu'il se trouva en dehors du chemin principal qui menait au château, tout comme elle au fait, et par le grand Bouclier en métal qu'il venait de sortir de derrière son dos. Elle n'avait jamais vu pareil type de protection et celui-ci la captiva l'espace de quelques instants. Son aura, qu'elle percevait sans même réfléchir, lui indiquait qu'effectivement, il ne vivait pas au château. C'était sans doute un étranger, un voyageur ou peut-être même un homme de foi en pélerinage venu demander l'hospitalité pour la nuit, comme il y en avait parfois.

Maintenant qu'il était plus près, elle pouvait distinguer nettement ses traits, ses yeux s'étant habitués à l'obscurité. Le jeune homme approcha encore un peu, tout en gardant une distance de quelques mètres avant de s'assoir à même le sol pour ensuite s'enrouler dans une grande cape de voyageur et Janaïka en vint elle-même à regretter de ne pas en avoir pris une plus chaude, puisque celle qui couvrait ses épaules n'était pas conçu pour les nuits plutôt fraiches d'Émeraude et était maintenant trouée, du à son altercation avec le sorcier. Le regard sombre de l'inconnu se promenait tout autour de lui, sautant d'un élément à l'autre et s'arrêta plusieurs fois sur la Magicienne, comme s'il voulait enregistrer tout l'environnement qui se trouvait autour de lui et cela amusait la jeune femme. Pourtant, elle n'oubliait pas l'affreux visage du sorcier qui errait toujours aux alentours et la vue du jeune voyageur assied là sans le moindre de doute du danger qui menaçait de s'abattre sur eux la fit frissonner: il ne devait pas faire plus de ravages.

Elle se redressa d'un bond, puisant au fin fond de son âme la volonté et le courage pour marcher jusqu'au château et s'arrêta devant l'inconnu.

- Il ne faut pas rester ici, le château serait plus sûr.

Afin de lui prouver sa bonne volonté, Janaïka lui tendit la main.

Setziel entendi des pasqui venait vers lui. Il ouvrit les yeux et vît la jeune demoiselle lui tendre la main et lui parla. Il la prit sans aucune raison. Il se leva et quand il entendit le mot château il se demandait ce que c'était. Il pointa la grande maison de pierre qui avait vue quelque minute plus-tôt, un peu confus il remarqua que la cape de la personne était déchirer et trouer. Il crus qu'elle avait été attaqué par un animal quelconque. Il se mit devant elle et la forêt croyant que l'animal en question allait attaquer de nouveau. Étant nul en magie il ne pouvait sentir la présence d'animaux ou de personne humaine, et se demandant pourquoi sa cape était trouer comme sa. Il créa alors un bouclier autour d'eux. Étant la seule qui pouvais faire en magie il l'estima la plus juste. Il se tourna vers la jeune demoiselle et lui demanda.

-Est ce que sa va?

Il attendit sa réponse en regardant les environs. Setziel était inquiet. Il ne savait pas pourquoi mais il sentait que quel que chose allait se passer.

kanos se reveilla en sursaut,il a senti une presence malefique.

bouillant de rage il se leva et mis une simple tunique.

il sortit sans faire de bruit il se dit dans sa tete

<< il fait froid>>

il vit janaika parler avec un inconnu,il courut a toutes vitesse et arriva pres d'elle

il s'exclama:- aaah,vous l'avez attrapes maitre ce sorcier de malheur

[HJ:Je prendrai en compte que Kanos est arrivé depuis quelques temps déjà, pour suivre le post^^]

Janaïka eut un faible sourire lorsque le jeune homme pointa, visiblement interloqué, le château tout en haussant bien haut les sourcil avant que son regard ne vienne se poser sur sa cape... ou plus précisément sur la déchirure que lui avait fait le sorcier. Soudainement nerveux, il se plaça sur la défensive face à la forêt, décidément très perspicace songea-t-elle, même si elle était sûre qu'il était loin de se douter de la chose qui lui avait fait cela.

- Est-ce que ça va?

Elle ne répondit pas immédiatement au questionnement du jeune homme, mais acquiesça lentement tout en restant attentive à ce qui se passait autour d'elle. Elle sentit une étrange force magique l'entourer littéralement, très différente de celle du sorcier dont l'aura malsaine semblait s'être imprégner sur elle et le regard de la Magicienne, maintenant interloquée, se posa sur le voyageur, qui était le seul susceptible d'avoir causé cette fluctuation. Avec cette magie qui l'enveloppait, elle avait l'impression de recouvrir ses forces et cela la surprit si brusquement qu'elle ne remarqua même pas l'arrivée d'un petit ouragan.

- Aaah!, vous l'avez attrapé, Maître, ce sorcier de malheur!

Janaïka se figea. Elle se retourna, lentement, de peur de ce qu'elle allait découvrir, mais cela n'y changea rien: derrière elle se trouvait Kanos. Le gamin la regardait d'une bizarre de façon, de triomphe peut-être, mais aussi de colère et elle tâcha aussitôt de le calmer avant que son impulsif élève ne fasse une bêtise.

- Non, Kanos, ce n'est pas un sorcier, donc je te prierai de ne pas faire de gestes regrettables envers ce voyageur... Et tu ne devrais pas être au lit, jeune homme, premièrement?

Ce n'était pas la peine de se demander comment le garçonnet avait appris la présence du sorcier. Il était au moins aussi puissant qu'elle et la jeune femme femme ne doutait pas qu'il la surpasserait une fois son apprentissage terminé... et cela devait mieux si ce que lui avait prédit les étoiles s'avérait juste. La Magicienne se retourna vers le jeune homme, qui lui était toujours tourné vers la forêt.

- Allez, nous devons rentrés au château avant qu'ils ne ferment les grilles.

kanos retourna dans sa chambre sans faire voir par les gardes et s'endormit.Demain il demandera a la magicienne comment etait le sorcier

Setziel ne remarqua pas le petit garçon qui venait d'arriver il continuais de fixer la forêt. Il ne remarqua pas non plus quand l'enfant quitta. La jeune demoiselle dit a Setziel

- Allez, nous devons rentrés au château avant qu'ils ne ferment les grilles.

Elle le sortie de sa trance et il se retourna. Setziel con pris que ce château saurait mettre en sécurité la demoiselle. Il acepta de la suivre jusque au château. Il ramassa son bouclier et prit la direction du chateau. Il marcha quelque temps avant d'arriver devant les grilles et les murails. Setziel étais confus, l'endroit était étonnamment grand, plus grand de se qu'on voyait de l'extérieur. Il regarda la jeune demoiselle et dit.

-Nous y voila! Je vais vous laisser maintenant.

Setziel s'inclina, il pensait que la personne a coté de lui étais une personne de haut rang dans le pays, quand il se redressa, il se retourna et commença a regarder par quelle chemin aller. Au moment au il allait poser le pied a terre pour faire son premier pas il s'arrêta et se dit par penser.

"Ou je vais dormir"

Setziel commença a réfléchir a se problème.

[HJ: Voila! Dernier post pour moi dans ce sujet!]

Le jeune homme que Janaïka avait croisé l'accompagnait vers le château, avec cette même étincelle de curiosité qu'elle avait remarqué au premier coup d'oeil, détaillant tout ce qu'ils rencontraient. Arrivé dans l'aile des Chevaliers, le voyageur s'inclina poliment, ce qui embarrassa légèrement la Magicienne qui n'y était pas vraiment habitué. Elle partit, laissant derrière elle le garçon qui observait la pièce de vie des Chevaliers.

Alors qu'elle était rendu à sa tour, elle n,eut que le temps de défaire sa cape avant d'entendre par voie téléphatique "Où je vais dormir?"
Elle ne connaissait pas cette "voix" et cela l'étonna, pourtant les vibrations n'étaient pas lointaine, dans le château en fait. Qui cela pouvait-il être? Pas Kanos, certainement. Puis soudain, alors qu'elle se remémorait l'épisode du bouclier, la réponse vint claire et net dans l'esprit de la jeune Magicienne.

En se concentrant uniquement sur la personne du voyageur, afin que seul lui l'entende, elle répondit de la même manière: "Suivez le grand couloir, celui près du foyer. Quatrième porte à gauche". Janaïka ne voyait aucun mal à lui prêter une des nombreuses chambres inutilisées de l'aile des Chevaliers. Elle attendit, curieuse de savoir la réaction du jeune homme.

Pendant que Setziel réfléchissait, il entendit une voie dans sa tête!

"Suivez le grand couloir, celui près du foyer. Quatrième porte à gauche".

Se demandent ou la voie venait il fit 3 tour sur lui même, il se souvenue que certaine personne pouvait parler magiquement a quelqu'un d'autre par penser.il regarda le chemin a prendre et remarqua qu'il menait a une chambre.Confus il dit dans sa tête.

"Merci..........voie des cieux."

Il ne savait pas qui lui avait dit se message magique, mais c'était gentil de sa part. Setziel préférait toujours dormir dehors par habitude. Alors il sortie de ce qui lui semblait une maison et alla s'installer dans un coin cacher par les maisons. Ne sachant quelle heure il était il décida de dormir, fatiguer de son voyage. Par habitude il dit dans sa tête.

"Bonne nuit."

[HJ:voila dernier post du sujet prochain sera dans la cour je crois]

Le plumage du mage noir se gonfla lorsqu'il sentit la magie de la jeune femme s'activer ainsi elle tentait de lui échapper, Avienoeth leva son aile jetant un sort mortel à la jeune femme mais trop tard, celle-ci avait déjà disparut. Le plumage du mage se gonfla d'avantage alors qu'à l'intérieur du sorcier, son sang d'insecte et d'homme oiseau bouillait de rage, cette magicienne ne lui échapperait pas !

Pour ce faire, le mage noir propulsa ses pouvoirs a travers tout Enkidiev dans le but de retrouver sa victime, il la sentit, toute proche.

*Quelle imbécile*

Pensa le mage, cette magicienne n'essayait même pas de lui échapper, où peut être était elle vraiment trop faible, il en importait peu, maintenant Avienoeth savait qu'il gagnerait à moins que des évènements ne le contraignent à s'en aller.

Le sorcier se propulsa dans les airs grâce à ses puissantes ailes et il survola rapidement l'endroit où se trouvait sa cible, il descendit en piqué mais s'arrêta brutalement sur une branche au dessus du petit groupe dressant au préalable un mur d'invisibilité qui le cachait aux yeux et sens des gens en contrebas, il y avait la magicienne mais aussi un autre individu, armé, Avienoeth allait fondre sur le duo lorsqu'il sentit une magie qui n'était pas celle de la jeune femme s'activer, était-il possible que le jeune homme était magicien ?

Avienoeth devrait se méfier, aussi il préféra guetter, observer, et tant pis si aujourd'hui il n'attrapait pas la magicienne car si grâce à elle il rencontrait d'autres personnes au pouvoirs particuliers, il n'allait pas laisser passer cette chance, et sa nouvelle idée se concrétisa rapidement lorsqu'un petit homme s'approcha, Avienoeth y décela une puissance hors du commun et le comble, cet homme était un hybride.

Avienoeth décida de se glisser dans la tête du petit homme, pour analyser d'où il venait, de qui il était le descendant. Avienoeth fut frappé d'horreur, le sang d'Amecareth, l'ex-empereur noir, coulait dans les veines de ce petit. Avienoeth devrait en parler avec son empereur, trop de chose s'était produite sur ce continent en seulement une journée, le sorcier ne pouvait pas se permettre de se blesser en attaquant le groupe et en les faisant prisonnier, il en avait déjà un qui l'attendait, aussi Avienoeth se dématérialisa pour réapparaitre auprès de son prisonnier, il le prit et disparut dans les affres du temps pour réapparaitre à la nouvelle forteresse de l'empereur.

En effet l'ancienne forteresse s'était avéré trop petite et avait reconvertie en pouponnière, maintenant se dressait devant le sorcier une forteresse, qui serait plus majestueuse que la première mais qui hélas n'était pas encore terminée, derrière le mage sur les plages du continent fourmillait une armée d'insectes, de dragons et d'autres créatures qui bientôt allait s'abattre sur Enkidiev, mais le temps de l'invasion n'avait pas encore commencer, il fallait d'abord évaluer la valeur des chevaliers d'émeraude que valaient ils aujourd'hui ?

Trainant le corps de son prisonnier toujours inconscient, Avienoeth, alla s'installer dans son alvéole, car il devait réfléchir à beaucoup de chose, il avait une invasion à préparer, mais aujourd'hui il avait une carte d'Enkidiev qui s'étalait sur un des mur arrondis de son alvéole.

Sujet: Re: D'étranges évènements au village